J’étais ce soir au cinéma pour voir Les cerfs volants de Kaboul (réalisé par Marc Forster – Sortie mercredi dernier). Occupation soviétique, guerre civile, dictature talibane, intervention américaine… Depuis la fin des années 1970, l’Afghanistan vit dans le chaos. En adaptant le best-seller de Khaled Hosseini, Marc Forster dépeint ces années noires à travers le destin d’un enfant ayant fuit le pays pour les Etats-Unis au moment de l’arrivée des troupes soviétiques et qui y revient 20 ans plus tard, juste avant la chute des talibans. Un retour qui doit lui permettre d’effacer sa culpabilité envers un ami d’enfance qu’il n’a pas aidé et dont le fils est en danger.
Voilà pour le petit speech de UGC Illimité qui résume très bien le film. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé (malgré quelques longueurs à certains moments)… un film émouvant et assez dur par moment (âmes sensibles, attention à certaines scènes). Un film qui permet “d’arrêter de se regarder le nombril” pendant 2 heures.