Julien Doré vient de sortir son nouvel album. Un album de 19 reprises à sa sauce comme il sait si bien le faire, à tel point qu’il pourrait tout chanter !
Et rien de mieux pour débuter cet article qu’un extrait de “Julien Doré, à fleur de pop” de Frédéric Quinonero (dont je viens de finir le livre il y a quelques semaines) :
“Le bonheur de Julien Doré c’est d’être libre. Libre d’écrire, de faire de la musique, de monter sur scène et de chanter, entouré des gens qu’il aime. Libre de choisir, de disposer de sa vie. Artiste imprévisible , on ne sait pas où le situer ni se figurer l’univers dans lequel il va nous conduire, l’image de lui qu’il va proposer. Et c’est très bien ainsi. Ce mystère qui l’entoure est l’apanage des stars”.
Le (ou les) supports physiques sont sympa avec diverses versions (barrette de couleurs différentes). Mais je ne vais pas ici faire un avis sur chaque titre. Dans son ensemble l’album est une réussite. Hâte d’être à la nouvelle tournée qui s’annonce (octobre 2025 pour moi à moins que je me décide à prendre une place pour mars 2025). Je vais donc me contenter de lister les reprises que je préfère :
“Pourvu qu’elles soient douces” qui est le premier single de ce nouveau projet et dont le clip est merveilleux. “Mourir sur scène” qui est vraiment magnifique. Déjà à l’époque Nouvelle Star, sa version était ouf ! “Toutes les femmes de ta vie”, “Les démons de minuit“, “Sara Perché Ti Amo“, “Sensualité“, “Ah les crocodiles” (on va être beau en concert à mimer le crocodile :-)), “Les sunlights des tropiques“, “Les yeux de la mama” et bien sûr “Moi Lolita“.