Deuxième avant-première de l’année avec le premier long métrage d’Igor Gotesman dans la longue liste des bons films de potes.
De quoi ça parle ? Cinq amis d’enfances rêvent depuis longtemps d’habiter en colocation. Lorsque l’occasion d’emménager ensemble se présente, Julia, Vadim, Nestor et Timothée n’hésitent pas une seule seconde, surtout quand Samuel se propose de payer la moitié du loyer ! A peine installés, Samuel se retrouve sur la paille mais décide de ne rien dire aux autres et d’assumer sa part en se mettant à vendre de l’herbe. Mais n’est pas dealer qui veut et quand tout dégénère, Samuel n’a d’autres choix que de se tourner vers la seule famille qu’il lui reste : ses amis !
Mon avis sur le film : Coup de cœur pour ce film présenté en avant-première à Ludres avec la présence des 5 principaux acteurs (du jamais vu !) et qui va sans aucun doute attirer du monde par la présence de Pierre Niney au casting. D’ailleurs le choix des acteurs est une réussite et pourtant les acteurs ne sont pas tous très connus (Igor Gostesman, François Civil, Idrissa Hanrot et Margot Bancilhon). En plus du casting qui fonctionne à merveille, le scénario est de qualité et bien construit : le spectateur fait connaissance avec cette bande d’amis et leur caractère respectifs, concrétisation de la colocation puis “perte” de revenus de Samuel avec toutes les conséquences plus ou moins graves qui vont en découler ; le tout agrémenté grâce à des personnages plus ou moins secondaires (je n’en dit pas plus).
On rit beaucoup pendant le film, et ce dès le début… Puis au fur et à mesure on se demande comment Samuel va faire pour s’en sortir. Et le film se termine avec une belle conclusion sur l’amitié et sur les secondes chances.
Scène marquante du film : Il y en a trop pour n’en citer aucune. Du coup, je retiendrai la conclusion du film que je mentionnais juste avant, sans trop vous en dire au risque de vous spoiler l’issue des mésaventures de Samuel.
Bref, un film que je retournerai voir lors de sa sortie prévue le mercredi 30 mars dans toutes les bonnes salles obscures.