Cinéma avec Cyril Descours !

Allez ! On attaque le deuxième billet cinéma pour cette année 2010. Dans le dernier billet, je vous disais que je reviendrai après avoir vu les deux films à l’affiche avec Cyril Descours (Ben dans la saison 1 de Clara Sheller).  C’est chose faite surtout que j’ai déjà vu 3 fois “Une petite zone de turbulence” et deux fois “Complices”. Vive la carte UGC Illimitée !!

On commence avec Cyril Descours (en version sans tatouage avec cheveux non rasés) dans “Une petite zone de turbulence”. Le temps d’un film, Cyril Descours est donc le fils de Michel Blanc et Miou-Miou et le frère de la ravissante Mélanie Doutey. En quelques mots, tous les personnages vont traverser une petite zone de turbulence. Jean-Pierre (nouveau retraité) est hypocondriaque. Lorsqu’il découvre une petite tâche sur sa peau au niveau de sa hanche droite, que Cathie lui annonce qu’elle épouse ” Bac moins six “, que Mathieu se fait larguer parce qu’il hésite à inviter son mec au mariage de sa sœur et que Jean-Pierre apprend fortuitement que sa femme le trompe, l’équilibre familial implose.

A première vue, une comédie française ordinaire. Après avoir vu le film, une comédie rafraichissante avec une histoire et des scènes très souvent réalistes.

On passe ensuite avec Cyril Descours (en version tatouage et cheveux très courts) dans “Complices” où le corps de son personnage (Vincent) est retrouvé mort dans le Rhône. S’en suit alors l’enquête policière (menée par Gilbert Melki et Emmanuelle Devos) et de nombreux flash-back sur les derniers jours de Vincent (qui gagne sa vie en se prostituant) et de sa petite amie récemment rencontrée.

Un très beau film même si j’aurai préféré une autre fin en supprimant la scène finale (pas forcément utile) pour expliquer au spectateur comment Rebecca a découvert le corps de Vincent.

Voilà pour le moment “Cyril Descours”. Dans les autres films, je vous conseille “Brothers”. J’ai vu aussi le film sur Gainsbourg. Disons que je m’attendais à mieux. Du coup, j’ai trouvé le film un peu long. Autrement, je vous conseille “Le refuge” de François Ozon que j’ai apprécié.