Deux nouveaux films déjà vus pour cette semaine. “L’âge d’homme maintenant ou jamais” et “Le goût de la vie”.
L’âge d’homme, maintenant ou jamais – Samuel a 30 ans. Ex-célibataire endurci, il vit depuis un an avec une photographe : Tina mais il prend peur au moment de s’engager. Il se donne alors vingt-quatre heures pour décider s’il va rompre ou non avec cette femme qu’il aime, persuadé qu’elle le quittera tôt ou tard. A ses côtés, Samuel peut compter sur Jorge et Mounir, ses confidents attitrés.
La bande annonce était plutôt bien… Mais dans l’ensemble, le film n’est pas extraordinaire. C’est dommage. On a parfois des scènes qui s’enchainent sans trop de rapport… Et dès le début, je me suis inquiété… car en 5 minutes de film, on avait déjà vu la moitié de la bande annonce. Bref, je m’attendais à beaucoup mieux… Même si ça se laisse regarder, surtout qu’il y a quand même quelques bonnes scènes. Heureusement qu’on avait Romain Duris et Clément Sibony pour les yeux.
Le goût de la vie – Kate règne sur les cuisines du 22 Bleecker, un des restaurants les plus cotés de Manhattan. Inventive et exigeante, précise et rigoureuse, elle mène sa petite équipe à la baguette et accomplit chaque soir de nouveaux prodiges dans une ambiance studieuse et concentrée. Consciente de ses mérites, elle se veut irréprochable et ne s’autorise aucun relâchement. Son perfectionnisme fait l’admiration de tous, mais intimide les hommes et décourage les avances. Fréquemment levée avant 5 heures, jamais couchée avant minuit, Kate mène une existence quasi monacale… Après la mort soudaine de sa soeur cadette, Kate recueille et prend en charge sa nièce, Zoe, 9 ans, en faisant de son mieux pour l’aider à surmonter l’épreuve. Mais la fibre maternelle lui fait cruellement défaut, et ses efforts les plus méritoires se heurtent à la résistance polie de la fillette, qui lui reproche d’en faire trop. De retour au restaurant après une semaine d’absence, Kate a la désagréable surprise de trouver en cuisine un nouveau sous-chef : Nick, blagueur et exubérant, braillant à pleins poumons des airs de Verdi et Puccini pour la plus grande joie du personnel…
Là, j’étais un peu inquiet avant d’entrer dans la salle suite aux critiques d’Isabelle Motrot (dans On n’a pas tout dit de mardi soir) qui trouvait ce film “cul-cul la praline“. Eh ben je dois vous dire que je n’ai pas regretté de l’avoir vu !! J’ai beaucoup aimé… De l’émotion, des sourires, une histoire qui tient la route. Le seul point (peut-être négatif) est qu’en plein milieu du film, j’ai deviné comment il allait finir !
Voilà, dans les choses à ne pas rater, il me reste “Mon frère est fils unique”.
Hum, tu es quand même un sacré consommateur d’étron. Entre toutes ces bornes pour assister à une représentation d’un second couteau de la variétoche et ces quelques pas pour aller voir des navets, je crois que tu devrais pousser jusqu’en dehors de la télé et de l’urbanité pour regarder l’herbe pousser.